Pour qui on aimerait travailler #1 Les friperies

Publié le : 17 decembre 2020

Friperies

Chez Breizhtorm, nous avons fait le pari de ne travailler que pour un seul client par domaine d’activité. Parfois, derrière ce client, il y a une cause, une promesse.
Le principe de la FRIPERIE nous parle particulièrement. Fer de lance du monde d’après, modèle exemplaire de l’accessibilité, les friperies s’ouvrent à toutes les bourses et redonnent leurs lettres de noblesses aux textiles de tous styles.

Pourquoi on voudrait travailler avec une friperie

Parce qu’elles sont cool

Friperie moderne ou friperie de quartier indéboulonnable, leur utilité n’est plus à prouver. Le monde de la mode est bardé de mauvais côtés : exploitation, surconsommation, gâchis, uniformisation de l’individu, il est une des locomotives du capitalisme. En créant la mode, il expédie aux oubliettes la saison qui le précède, remplissant nos penderies de morceaux de tissus à peine portés.

 

Parce qu’elles privilégient l’individu

Aller en friperie, c’est choisir de ne pas subir le diktat de la mode, l’uniformisation des masses, c’est choisir de ne pas laisser des minorités ou des peuples entiers esclaves d’une industrie.

Passer la porte d’une boutique de fripes, c’est se dessiner un caractère, un style bien à soi, emprunt d’histoire et de modernité, et réinventer sa mode.

Vêtements, sources de valeur

Porter de l’occasion, c’est porter des valeurs. Parce qu’on peut s’habiller de principes, littéralement.

Et si...

Nos idées pour l’univers de la friperie

Et si l’histoire d’un vêtement devenait source de valeur ?
Et si son histoire devenait son pedigree ? Imaginez… Chaque trou rapiécé, chaque patch thermocollé, chaque couture reprise, marquerait son héritage.A la manière du KINTSUGI, la trace du passé serait le vecteur d’une nouvelle forme de luxe, celui de l’histoire.
La logique productiviste et consumériste de l’industrie textile ne supportera peut-être pas ce changement de paradigme.
Mais quelle publicité pour une marque de pouvoir crier haut et fort : « Ce vêtement a déjà été porté 8692 fois et par 27 personnes différentes sur 48 ans » !
Les marques entreraient en compétition sur la longévité de leurs produits, faisant de la problématique environnementale et sociale un point crucial de leur communication. On peut saluer le travail de Benjamin Rolland, à Rennes, qui propose une collection de vêtements à customiser avec des patches drôles et design. Notre préféré ; le Lait Before Cereal Club.

Idée de campagne :

La video se prêterait bien au jeu de l’émotion. Quel meilleur moyen de montrer la vie d’une fringue à travers les âges, et avec elle, le témoignage du temps qui passe et des événements qui s’enchainent. Une veste qui aurait fait Woodstock se retrouverait sur le dos d’un activiste à Berlin pendant la chute du mur puis au porte manteau d’un jeune adulte arrivant chez la future mère de ses enfants, etc.

Une idée sur le bout du crayon

Quelques friperies bien cool sur RENNES :

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